Bientôt la St Nicolas : il est temps de penser à décorer votre maison pour Noël !
24/11/2018
Pas de paillettes ni de superflu cette année : la tendance déco 2018 est à l'écologie jusqu'au haut du sapin ! Ce sera un Noël durable et respectueux venant tout droit de la culture scandinave Lagom qui consiste à vivre mieux avec moins.
Bois, vert et matières naturelles pour un Noël au top (des sommets montagnards) : laissez vous guider !
Retour aux sources : pour être dans le mood dans ces fêtes de fin d'année, il faudra transformer votre pièce de vie en un chalet montagnard, comme si vous étiez aux pieds des pistes !
(Fausses) Fourrures en guise de tapis, éclairage doux, plaids douillets (faits mains en laine), neige artificielle et décos de Noël en matières naturelles (bois, métal, rotin) : de quoi donner une atmosphère chaleureuse à votre habitation !
Pour les couleurs : on reprend les tendances qui ont rythmées cette année. Bleu, vert et violet seront mixés pour dynamiser votre logis.
La tendance étant au dépouillement raffiné on oublie strass, plumes et paillettes que l'on remplace cette année par du doré par touches discrètes !
Qui dit nature, dit animaux : le bestiaire est en vogue ! Il y a certes les rennes du père Noël, mais pas que ! Tous les animaux, de la jungle à la savane, en passant par la montagne seront les vedettes de votre décoration.
DIY et recyclage seront à l'honneur : quoi de mieux que de faire soi-même des éléments de déco pour les fêtes de fin d'année avec des matières recyclées ? Vous savez tricoter : pourquoi ne pas vous faire votre plaid en laine pour vous lover dans votre canapé un mug à la main ?
Vous êtes perdu(e) au milieu de toutes ces infos ?
Pas de panique, il vous reste quelques jours.
N'hésitez pas à nous contacter pour réaliser votre sapin de Noël, et toutes vos décoration de fêtes.
Patricia m'a fait confiance sur le choix des couleurs et des matériaux pour donner un peu de peps à sa déco. J'ai fait appel à l'atelier d'Alexis pour donner une véritable ambiance à cette fan de rouge.
Patricia bénéficiait d'une jolie pièce, trop blanche à son goût, et de jolis canapés Roche Bobois gris.
Problème : sa pièce n'était pas assez personnalisée !
Grâce à des touches de rouge et de jaune moutarde voici un nouveau salon digne des magasines de décoration !
Première grande rétrospective de Niki de Saint Phalle en Belgique, l’exposition raconte comment son imagination sans limite et sa vision unique du monde lui ont valu une reconnaissance internationale et le statut d’artiste incontournable du XXe siècle.
Cette première rétrospective belge consacrée à l’œuvre de Niki de Saint Phalle (1930-2002) illustre les multiples façons dont l’artiste a concrétisé en 50 ans de carrière son désir de devenir l’égal des hommes, s’imposant finalement en tant qu’artiste dans une société et un monde de l’art jusque-là dominé par les hommes.
Son approche artistique décomplexée et libérée lui a permis de donner libre cours à son imagination sans limite comme à sa démarche artistique inventive, audacieuse, provocante et protéiforme (peinture, sculpture, performance, chantiers architecturaux, pièces de théâtre, cinéma…). Refusant de se laisser inféoder aux galeries et aux musées, elle a su tisser un lien avec le grand public, notamment en créant des œuvres devant un public et incitant l’assistance à y participer, ce qui lui a valu un grand retentissement médiatique.
Au BAM, plus de 140 œuvres présentées sur deux étages retracent chronologiquement l’évolution créatrice de l’artiste, de ses premiers assemblages et tableaux des années 1950 aux célèbres Tirs du début des années 1960, en passant par ses sculptures de mariées et de parturientes du milieu des années 1960 et ses Nanas, hymne à la féminité, restées emblématiques de son œuvre. L’exposition met aussi en évidence les préoccupations constantes de l’artiste : les enjeux sociopolitiques, la colère, la violence, la mythologie et les contes de fées, sans oublier la féminité. Et ce à travers les trois axes : personnel, politique et universel.
Bien entendu, l’exposition met en valeur les nombreux projets monumentaux imaginés par Niki de Saint Phalle. Trois œuvres sont installées dans le centre-ville : dans le jardin du BAM, au jardin du Mayeur et dans le parc du Beffroi. Ces grandes sculptures publiques habitent la ville et font ainsi le lien entre le musée et l’espace public, thématique si chère à l’artiste.
Première grande rétrospective de Niki de Saint Phalle en Belgique, l’exposition raconte comment son imagination sans limite et sa vision unique du monde lui ont valu une reconnaissance internationale et le statut d’artiste incontournable du XXe siècle.
Cette première rétrospective belge consacrée à l’œuvre de Niki de Saint Phalle (1930-2002) illustre les multiples façons dont l’artiste a concrétisé en 50 ans de carrière son désir de devenir l’égal des hommes, s’imposant finalement en tant qu’artiste dans une société et un monde de l’art jusque-là dominé par les hommes.
Son approche artistique décomplexée et libérée lui a permis de donner libre cours à son imagination sans limite comme à sa démarche artistique inventive, audacieuse, provocante et protéiforme (peinture, sculpture, performance, chantiers architecturaux, pièces de théâtre, cinéma…). Refusant de se laisser inféoder aux galeries et aux musées, elle a su tisser un lien avec le grand public, notamment en créant des œuvres devant un public et incitant l’assistance à y participer, ce qui lui a valu un grand retentissement médiatique.
Au BAM, plus de 140 œuvres présentées sur deux étages retracent chronologiquement l’évolution créatrice de l’artiste, de ses premiers assemblages et tableaux des années 1950 aux célèbres Tirs du début des années 1960, en passant par ses sculptures de mariées et de parturientes du milieu des années 1960 et ses Nanas, hymne à la féminité, restées emblématiques de son œuvre. L’exposition met aussi en évidence les préoccupations constantes de l’artiste : les enjeux sociopolitiques, la colère, la violence, la mythologie et les contes de fées, sans oublier la féminité. Et ce à travers les trois axes : personnel, politique et universel.
Bien entendu, l’exposition met en valeur les nombreux projets monumentaux imaginés par Niki de Saint Phalle. Trois œuvres sont installées dans le centre-ville : dans le jardin du BAM, au jardin du Mayeur et dans le parc du Beffroi. Ces grandes sculptures publiques habitent la ville et font ainsi le lien entre le musée et l’espace public, thématique si chère à l’artiste.
Cette première rétrospective belge consacrée à l’œuvre de Niki de Saint Phalle (1930-2002) illustre les multiples façons dont l’artiste a concrétisé en 50 ans de carrière son désir de devenir l’égal des hommes, s’imposant finalement en tant qu’artiste dans une société et un monde de l’art jusque-là dominé par les hommes.
A découvrir impérativement jusqu'au 13 janvier prochain au BAM à Mons.
Son approche artistique décomplexée et libérée lui a permis de donner libre cours à son imagination sans limite comme à sa démarche artistique inventive, audacieuse, provocante et protéiforme (peinture, sculpture, performance, chantiers architecturaux, pièces de théâtre, cinéma…). Refusant de se laisser inféoder aux galeries et aux musées, elle a su tisser un lien avec le grand public, notamment en créant des œuvres devant un public et incitant l’assistance à y participer, ce qui lui a valu un grand retentissement médiatique.
Au BAM, plus de 140 œuvres présentées sur deux étages retracent chronologiquement l’évolution créatrice de l’artiste, de ses premiers assemblages et tableaux des années 1950 aux célèbres Tirs du début des années 1960, en passant par ses sculptures de mariées et de parturientes du milieu des années 1960 et ses Nanas, hymne à la féminité, restées emblématiques de son œuvre. L’exposition met aussi en évidence les préoccupations constantes de l’artiste : les enjeux sociopolitiques, la colère, la violence, la mythologie et les contes de fées, sans oublier la féminité. Et ce à travers les trois axes : personnel, politique et universel.
Bien entendu, l’exposition met en valeur les nombreux projets monumentaux imaginés par Niki de Saint Phalle. Trois œuvres sont installées dans le centre-ville : dans le jardin du BAM, au jardin du Mayeur et dans le parc du Beffroi. Ces grandes sculptures publiques habitent la ville et font ainsi le lien entre le musée et l’espace public, thématique si chère à l’artiste.
Cette première rétrospective belge consacrée à l’œuvre de Niki de Saint Phalle (1930-2002) illustre les multiples façons dont l’artiste a concrétisé en 50 ans de carrière son désir de devenir l’égal des hommes, s’imposant finalement en tant qu’artiste dans une société et un monde de l’art jusque-là dominé par les hommes.
Son approche artistique décomplexée et libérée lui a permis de donner libre cours à son imagination sans limite comme à sa démarche artistique inventive, audacieuse, provocante et protéiforme (peinture, sculpture, performance, chantiers architecturaux, pièces de théâtre, cinéma…). Refusant de se laisser inféoder aux galeries et aux musées, elle a su tisser un lien avec le grand public, notamment en créant des œuvres devant un public et incitant l’assistance à y participer, ce qui lui a valu un grand retentissement médiatique.
Au BAM, plus de 140 œuvres présentées sur deux étages retracent chronologiquement l’évolution créatrice de l’artiste, de ses premiers assemblages et tableaux des années 1950 aux célèbres Tirs du début des années 1960, en passant par ses sculptures de mariées et de parturientes du milieu des années 1960 et ses Nanas, hymne à la féminité, restées emblématiques de son œuvre. L’exposition met aussi en évidence les préoccupations constantes de l’artiste : les enjeux sociopolitiques, la colère, la violence, la mythologie et les contes de fées, sans oublier la féminité. Et ce à travers les trois axes : personnel, politique et universel.
Bien entendu, l’exposition met en valeur les nombreux projets monumentaux imaginés par Niki de Saint Phalle. Trois œuvres sont installées dans le centre-ville : dans le jardin du BAM, au jardin du Mayeur et dans le parc du Beffroi. Ces grandes sculptures publiques habitent la ville et font ainsi le lien entre le musée et l’espace public, thématique si chère à l’artiste.
Nouveau concept : Anthony Sika se rapproche de ses clients !
14/09/2018
A partir de demain, vous pourrez découvrir les collections d'Anthony sur son site, commander et demander une livraison à partir du jeudi 20 septembre : par un simple appel ou en quelques clics, vous choisirez facilement le produit qui vous fait envie parmi un large choix de bouquets, compositions, plantes et décorations visibles dans l'onglet COLLECTIONS.
UN FLEURISTE 2.0
Si la boutique n'est plus, toutes les créations, réalisées à la demande, seront toujours de qualité, fraîches, et conçues avec le savoir-faire d'Anthony. En somme rien ne change, sauf vous faire gagner du temps !
ET POUR RECUPERER SES ACHATS ?...
Ou vous récupérerez vos commandes facilement dans un des points relais sélectionnés par Anthony dans la métropole lilloise, près de chez vous, ou vous demandez une livraison à domicile, au bureau ou sur le lieu d'une cérémonie...
... du jeudi au samedi.
"Mon souhait : continuer à fournir un service irréprochable comme celui que mes clients ont toujours connu !", dit Anthony : belle réussite à lui dans cette nouvelle aventure !
Les vacances sont finies, vos bambins ont rejoint ce matin les bancs de l'école !
Et ces vacances ont été longues ! Ils ont peut-être écrit sur les murs ? Dessiné sur le canapé ? Cassé votre vase préféré ? Ou peut-être qu'ils ont été très sages et que vous en avez profité pour feuilleter le papier glacé des magasines de décoration sur votre transat...
Dans tous les cas, vous voulez changer de déco, mais... vous ne savez pas faire !